fabelhaften Sängerin, faszinierende irakische Musik zwischen Klassik, Folk-Tradition und kompositorischer Moderne. Arabische herrlich ausgeschmückte Melodik, betörend die phrasierungsreiche oft etwas dunkel gefärbte Stimme, teils dramatisch aufsteigend, teils gleichsam majestätisch, kraftvoll strahlend. Vielschichtig und brillant begleitet von oft schwelgerischen Streichern, Flöte, Saiteninstrumenten und Percussion, melodisch gerne korrespondierend mit dem Gesang (z.T. Call/Response-artig). Anders als bei "Ishraqaat" (s. Webshop) und auch ohne dessen durchgehend leise/langsame Tracks enorme rhythmische Vielfalt auch innerhalb der Stücke, Tempowechsel, Dynamikabstufungen, nicht nur die bekannte Raffinesse und Elastizität. Ausnahme: Das mit 16 Min. längste Stück, ein wahres Monster, hypnotisch, von repetitivem Streicher-Riff unterlegt, das hinreißende Hauptmotiv immerfort variierend - erzeugt Trance-Zustände! Ein poetisches wundervolles Werk, Monatsfavorit! (dvd) (Glitterhouse)
L’impérieuse profondeur e la voix s’impose à son ntrée « en scène », après ’introduction musicale altière e la première et courte ièce, sur un poème d’Adonis. ès la seconde, qui déroule ses éandres majestueux sur un ode ancien, le frisson vous agne. Le grain de cette voix, a justesse dans les microintervalles, e souffle qui paraît nfini tant il se régénère sans ffort apparent, berce et chavire ’âme. Il balaie rapidement ’agacement procuré par le son ncongru d’un pauvre synthé, jugé moderne » par le compositeur t orchestrateur des cinq orceaux, Mohammad Gomar, poux de la diva. Ni fautes de oût ni trouvailles n’influent sur a splendeur du chant, réhabilité ar la pièce titre finale, que Farida ranscende. (Mondomix)
'The instrumental playing is excellent.' (Songlines ****)